La bureaucratie n’est pas aussi bonne qu’on le croit pour l’entreprise moderne

 

Même si la bureaucratie apporte des valeurs de rationalité, de bonne organisation et de contrôle, certains patrons célèbres comme Jack Welch en ont été des ennemis déclarés, car, dans la majorité des cas, ce système ne convient pas au fonctionnement de l’entreprise moderne. En dépit de cela, beaucoup d’entreprises ont poursuivi le mirage bureaucratique, en particulier en France où la culture d’entreprise est très adaptée à cela.
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Bureaucracy is not so good for modern business

Even if bureaucracy brings values of rationality, good organisation and high control, some famous managers like Jack Welch declare themselves as foes of bureaucracy. Because, in most of cases, this system does not fit with modern business. In spite of that, a lot of companies stick on bureaucracy illusion, especially in France where business culture is very compatible with it.
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La transparence est à double tranchant, mais au final bonne pour les managers


Par les temps qui courent, on attend beacoup de la transparence pour corriger les mauvais comportements qui ont mené à la crise. Une meilleure transparence apporte l’espérance d’avoir une information financière digne de confiance et d’améliorer l’efficacité du marché. Une meilleure transparence favorise la démocratie directe et rend le traitement des questions sociales et politiques plus facile. Cependant, beaucoup de nos affaires sont basées sur une asymétrie de l’information, ce qui est contraire à la transparence.

L’accès à l’information est souvent une question de pouvoir. Moins on en sait sur vos intentions, moins on a de contrôle sur vous. En effet, si vous livrez tous vos plans stratégiques au marché, il est plus facile à vos concurrents de vous contrer. D’autre part, si vous ne dites rien au sujet de vos plans, vos intentions, comment trouverez-vous des personnes pour vous suivre ? Finalement la transparence est le bon équilibre entre l’information que vous devez tenir secrète pour pouvoir réussir dans vos affaires et celle vous devez communiquer pour générer suffisamment de confiance chez vos partenaires pour réussir.
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Transparency is double-edged, but good for managers.


In this times, transparency is expected to fix a lot of ill behaviour which led to crisis. Better transparency brings the hope  to have trustworthy financial information and to improve market efficiency. Better transparency helps direct democracy and makes easier social and politics. However, a lot of our business is based on information asymmetry which is transparency contrary.

Accessing information is often matter of power. Less people know about your intentions, less they have control on you. Indeed, if you release all your strategic plans to the Market, it is easier to your competitors to counter you. On the other hand, if you say nothing about your plans, your intentions, how will you find people to follow you ? Finally transparency may be the right balance between information you need to keep for being able to succeed in your business and the one you should release to gather enough trust from your stakeholders to succeed.
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2020, que va-t-il advenir des bureaux de postes ?

En période de crise, nous avons plus que jamais besoin d’avoir une vision stable de l’avenir qui contribuera à maintenir la bonne direction dans le mauvais temps. Un grand nombre d’organisations consacrent de l’énérgie à la prospective parmi lesquelles : le gouvernement français, l’unesco.

Voici un essai de vision sur le business des bureaux de poste de ces prochaines années.
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La vraie question n’est plus sur les services. C’est celle des infrastructures.

Aujourd’hui, la plupart des débats concernant la performance des organisations tournent autour de la mise en œuvre du concept de service produit par un ensemble de processus. Les entreprises et leurs composantes sont réputées pour être plus efficaces lorsqu’elles sont engagées sur la fourniture de services. Est-ce en raison de l’orientation des économies modernes vers les services au sein desquelles la part de ceux-ci atteint 70% ? Le succès des concepts de “cloud computing”, de “Software as a Service” associé à la propagation de l’ITIL à l’extérieur des entités de production informatique, en est une démonstration. Même SOA, bien qu’actuellement constesté, a contribué au succès de l’orientation vers le service.

Mais, sont-ce les mêmes services ? Certains disent que ce sont des points de vue différents. Si cela est vrai, cela signifie qu’il existe une définition unique de service capable d’unifier toutes les précédentes. Tous seraient alors des services ? C’est la question de ce billet.
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The very question is no more about services. This is infrastructure.

Today most of discussions regarding organisation performance turn around the concept of service. Companies and company sub-entities are deemed to be more efficient when committed to services delivery. Would it be due to modern economies orientation for which services industry represent 70% ? The successes of the cloud computing, of Software as a service associated with the spread of ITIL outside production departments, are far from the bottom of the drivers list. Even SOA, though a declining fame, contributed to service orientation success.

But, are they, all these, the same services ? Some people says these are different points of view. If true, it means that it exists a unique definition of service which unify all the previous. Then, all would be services ? this is the question of this post.
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L’alignement stratégique importe peu ….

Ces 20 dernières années, les technologies de l’information  (TI) ont redessiné le monde : métier, media, politique, gouvernement, défense,… Les entreprises ont lancé de grandes transformations surtout autour des années 2000 avant l’éclatement de la bulle internet. Même si les transformations étaient visibles, voire évidentes, les statistiques ne démontraient pas un lien clear entre les investissements dans les TI et une meilleure rentabilité. Plusieurs modèles ont été imaginés, (ex : Hytt and Bryjolfsson 1996), les résultats n’ont pas été probants et ils étaient trop complexes pour être utilisés par le management des entreprises.

Ceci renforça l’intérêt pour la méthode “balanced scorecard” (BSC) de Norton et Kaplan, et pour IT BSC qui simplifient la question. Avec BSC, ce sont les managers d’entreprise qui identifient les liens et les actions effectives à lancer pour mettre en oeuvre la stratégie de l’entreprise. BSC exige que les managers partagent leur point de vue à propos des hypothèses stratégiques, des pilotes d’activité, des resultats et des indicateurs. Dans ce cas, le modèle produit est spécifique à une entreprise, sa valeur est empirique et dépend de l’expérience des managers.

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Strategic alignement does not matter…

These last 20 years, Information Technology (IT) reshaped the world : business, media, politics, government, defence,… Companies undertook great changes especially around 2000 before the internet bubble went burst. Even if the changes were visible and obvious, statistics didn’t demonstrate a clear link between IT investment and profitability. Several models have been build, (ex : Hytt and Bryjolfsson 1996), the results were not clear and they were too complex for being used by company management.

This brought forward the balanced scorecard (BSC) method from Norton and Kaplan and the IT BSC which simplifies the question. With BSC, it is up to company managers to identifying the links and the effective actions to settle for implementing company strategy. BSC requires that management shares point of views regarding strategic hypothesis, activities drivers, results and indicators. In this case, the model produced is specific to a company, its value is empirical and depends on managers experience.
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