Dirigeants, arrêter de vous battre contre la crise, transformer vos entreprises

CEOobjectivesLe monde de l’entreprise change, il est de plus en plus fréquent de voir les ordinateurs remplacer les humains au travail. Le phénomène est plus rapide dans les pays comme la France où les impôts et les charges sociales pèsent plus lourdement sur les salaires. Il se produit par un mouvement silencieux qui pousse peu à peu les gens vers des emplois à temps partiel ou le chômage. La seule main d’œuvre épargnée est constituée des travailleurs hautement qualifiés capables de maîtriser les technologies en même temps que l’organisation du métier de l’entreprise 1. Les pays dont la consommation est le moteur de croissance, souffrent fortement d’un pouvoir d’achat au point mort ou en baisse. Ceux tournés vers l’exportation semblent réussir beaucoup mieux, la concurrence se durcit cependant dans un contexte déflationniste 2 .

Dans un tel contexte, les dirigeants d’entreprise ont du mal à maintenir ou à atteindre un niveau de résultat d’exploitation répondant au attentes d’investisseurs de plus en plus exigeants sur le  taux de retour sur investissement. Ils se battent aussi pour maintenir le niveau de chiffre d’affaire dans un marché lui-même affecté par le contexte économique général. La crise a été un bouc émissaire utile, elle a été une explication aisée du chômage et des troubles endurés par les entreprises. Elle est cependant terminée et la gueule de bois est toujours là.

Pour espérer survivre, les entreprises doivent se transformer. Pour autant, toutes ne seront pas en mesure de le faire, seules celles qui parviendront à obtenir des fonds pour financer le changement et, parmi elles, celles qui réussiront à mettre en œuvre le changement. Il reste peu de temps pour se mettre à l’ouvrage.

Tout cela serait nouveau, si les sociétés de conseil et d’édition n’avaient pas martelé ce message pendant des années. D’ailleurs pour beaucoup d’entreprises la transformation est déjà en cours3

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PARIS 2.0. Une richesse de points de vue


J’ai assisté à l’événement PARIS 2.0, la matinée du 25 septembre. Les sujets abordés étaient la génération digitale, les marques en réseau, le management 2.0 sous forme de tables rondes où les participants donnaient leur point de vue et leurs retours d’expérience. Ce fut un événement enrichissant notamment grâce à la diversité des points de vue, due à la diversité de secteurs d’activité, mais aussi à la diversité des métiers de chaque intervenant : manager, offreur de service, communicant, technicien,…


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Considérer la promesse du consultant à sa juste valeur

Vous êtes consultant. Votre objectif est d’amener votre client à mettre en pratique une nouvelle idée qui doit, en partie, changer sa façon de travailler. Plusieurs cas peuvent se présenter : soit cette idée est une promesse réaliste de résoudre un problème ou bien d’améliorer les résultats habituellement atteints, soit elle garde le client d’une situation où l’inertie sera à terme dommageable. En soi, cette position est ambitieuse, car la promesse soit être suffisamment attirante.

Qu’est-ce qui devrait rendre cette promesse attirante ?

D’abord, c’est la relation directe entre la réalisation de la promesse et la réalisation du résultat attendu par le client. Plus le client perçoit cette relation, plus il perçoit la promesse comme une proposition de valeur.
C’est, ensuite, la démonstration de la capacité du conseil à tenir la promesse. Ce sont les références du conseil ou bien de l’entreprise qui, sur la base des savoir-faire déjà mis en œuvre, étayent cette capacité.
C’est enfin l’empathie que le conseil fait surgir et qui complète l’atmosphère de confiance qui s’est installée.
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